Après “Ralentir” en 2015 et “Ton serment” en octobre 2018, le groupe Cent Détresses s’est remis au travail pour imaginer un scénario assez improbable.
Lorsque Dédale à Vannes accepte d’ouvrir ses portes et que la talentueuse comédienne/danseuse/mannequin Charlotte Bermond dit oui, “il ne reste plus qu’à” tourner et faire en sorte que le projet voit le jour.
Pour ma partie technique/réalisation, j’ai rencontré quelques soucis. Mon boitier, le GH4 de Panasonic, très mauvais en basse lumière, un tournage quasi “run & gun” avec presque aucune modification technique si ce n’est de changer d’objectif (du 7.5mm au 12/60mm) et un délai de tournage de 6 heures qui pouvait paraître long mais qui, au final, nous a parut trop court.
Au final, la bonne ambiance, les acteurs (et assistants) performants, l’oeil de la professionnelle Charlotte qui corrigeait les prises en direct nous ont permis d’avoir un résultat plutôt très chouette.
Bien sur certaines scènes fourmillent, les néons scintillent sur les “slowmo” mais l’histoire est là et correspond à ce que souhaitait le groupe. Car là est bien toute la difficulté de ce genre de tournage: réussir à traduire les envies artistiques du groupe, les émotions et les faire passer aux spectateurs pour qu’ils ressentent la même chose.
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Le groupe Cent Détresses
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